Plus que jamais, les Canadiennes et les Canadiens ont besoin d’organismes de bienfaisance et d’organismes sans but lucratif pour survivre. Nous ne sommes pas les premiers à constater que la pandémie de COVID-19 a eu un impact négatif sur le secteur social, qui doit continuellement faire face aux demandes accrues des systèmes sociaux gouvernementaux appauvris. Compte tenu du tourbillon de ces dernières années, dans quelle direction le secteur de la philanthropie va-t-il ? Le Globe and Mail a publié les réflexions de notre fondatrice et PDG, Kim Fuller, pour essayer de trouver une réponse à cette question.
« Le secteur philanthropique a besoin d’un leadership fort et uni pour répondre aux nombreux enjeux, aux tendances négatives et aux inégalités. Le statu quo ne répond pas aux besoins actuels »,
a déclaré Kim.
Les organisations à but non lucratif et caritatives cherchent des solutions radicales, souhaitant reconstruire entièrement les cadres existants qui perpétuent les inégalités dans notre société. Comme l’a expliqué Kim, ce type de changement en profondeur requiert des dirigeants forts qui se mobiliseront pour obtenir de meilleurs résultats pour leurs communautés.
« La plupart des bailleurs de fonds veulent mettre l’accent sur les programmes et les services, mais les organismes à but non lucratif doivent mieux rémunérer leur personnel, avoir un toit sur la tête et payer la facture d’électricité. Le manque de financement pour accroître la portée de nos actions constitue mon plus grand chagrin. » —Kim
La pandémie a posé des défis importants pour la rétention des employés, en particulier pour les OBNL, et il y a un grave manque d’argent disponible pour investir dans les coûts administratifs et les ressources humaines, tels que le coût du maintien en poste du personnel. Lorsque les donateurs priorisent les dépenses consacrées aux programmes plutôt qu’au soutien de l’infrastructure organisationnelle, le cycle de famine dans les OBNL (article en anglais) commence. Kim soutient que même si les programmes et les services constituent le point focal du financement, les organisations peinent à obtenir le strict minimum pour être opérationnel; les bailleurs de fonds devraient miser sur le renforcement des équipes de travail, pour permettre aux OBNL d’accroître leur impact.
« Comment pouvons-nous travailler ensemble pour résoudre les problèmes importants [qui découlent] d’une diminution du financement ? » —Kim
Découvrez les solutions audacieuses proposées par Kim en lisant l’article complet ici (article en anglais).
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